jeudi 27 décembre 2012

Deficit chronique chez Tunisair

Tunisair demande un chèque en blanc


Deficite du chiffre d'affaire pour Tunisair
Tunisair vous souhaite la bienvenue : +300 millions de perte
Avoir le monopole en Tunisie dans sont secteur d'activité c'est bien, mais avoir un déficit depuis des années et géré la compagnie comme épicerie de quartier c'est mal je trouve.  Ainsi  plus de 300 millions de dinars, c’est le montant du déficit de la compagnie aérienne nationale pour les années 2011/2012. De quoi faire réfléchir plus d’un manager, mais apparemment pas chez Tunisair.

Avec les effets conjuguée de la récente décision du gouvernement d’accorder une liberté à Qatar dans le ciel de la Tunisie sans analyse et ni etude, aux mauvaises décisions de réintégrer Tunisair Catering et Tunisair Handling de nouveau à la compagnie et avec la déclaration en cessation de paiement de Mauritania Airways, rien na été fait pour le moment pour avoir une bonne gestion.

La réintégration du catering et du handling  coute en salaires de près de 40 MDT annuellement, sachant que la totalité des salaires Tunisair sont de l’ordre de 300 MDT par an !

La croissance du nombre d’employés est en augmentation d'année en année au sein de Tunisair tandis que les services a la clientèle sont toujours aussi pourri. Pour les prestations au sol, les pertes s’élève à 10 Millions de dinars,  soit 5 millions d'euro sans raisons apparentes d’ailleurs. Lorsque l’on sait que partout dans le monde (y compris au Maroc) la maintenance et l’exploitation d’un avion exige 100 employés. En Tunisie, il faut 200 personnes pour s’en occuper sans pour autant améliorer les services qui vont avec.

Voyage au frais de l’état

Tunisair aurait par ailleurs subi près de 4,6 millions de dinars de pertes en 2012 à cause d’un usage exagéré de l’avion présidentiel de la part du président de la république Moncef Marzouki pour les 9 premier mois de l’année 2012 et apparemment c'est dépense ne sont toujours pas réglées.
La compagnie aurait également investi près de 10 millions de dinars en frais de communication, transport des membres du gouvernement, soutien au secteur touristique ainsi que pour la réduction des prix des billets d’avion en direction de la diaspora tunisienne à l’étranger. Tout c'est frais n'ont pas toujours été réglé de la part du gouvernement non plus.

Une mauvaise stratégie a long terme

Les responsables de la compagnie demande aussi au ministère du transport Abdelkrim Harouni de limiter c'est intervention dans la gestion de la compagnie. Devons nous comprendre par la que c'est le ministre qui fixe la stratégie et les recrutements pléthorique du personnel de la compagnie ? La aussi c'est pas normal, mais tout le monde s'enfou !

Les responsable de Tunisair demande aussi d’adapter les salaires des agents en fonction de leurs qualifications et leur productivité. La aussi il comprendre que certain touche des salaires de roi chez Tunisair ?
A la lecture du rapport les responsables déclare qu'il est inadmissible et très risqué de ne pas recourir aux contractuels et à l’intérim pour limiter les frais. Les responsable déclare qu'il va falloir à Tunisair se séparé des vieux qui ont plus de 50 ans et les mettre a la préretraite ce qui permettra de reduire  le nombre de personnels aujourd’hui en surplus. Ce qui ne manquera surement pas d'alourdir le budget de l'etat aussi, la aussi ont pipe pas un mot ...

Parmi les conditions pour la relance de Tunisair ont peut citer:
- Le gel des salaires sur 2013/2014;
- La mobilisation des équipages pour augmenté temps de travail (entre 12 et 14 heures);
- Développer une stratégie commerciale plus agressive qui tendrait vers l’ouverture de 20 nouvelles lignes sur le Burkina Faso, le Tchad, le Cameroun, le Ghana, le Togo, le Gabon, le Congo Kinshasa, le Congo Brazzaville, le Bénin, le Nigeria, la Guinée, la Gambie, le Niger, l’Angola et l’Ouganda.
- Développer le long courrier à destination des Etats-Unis, du Canada et de l’Afrique du Sud et transformer l’aéroport Tunis-Carthage en un aéroport de transit;
- Renforcer la dimension commerciale des vols Tunisair en introduisant les nouvelles technologies dans la vente des produits à bord des avions et en y ajoutant les réservations hôtelières;
- Réviser la charte graphique de la compagnie;
- Intégration de la compagnie dans des réseaux comme Star Alliance ou One World en l’espace de 5 ans;
- Créer une compagnie Tunisair spécialisée dans la formation et les services en direction des compagnies aériennes africaines;
- La vente des terrains de Tunisair dans les zones d’El Manar, la Charguia et l’Avenue Mohamed V.

Conclusion

Quant à l’Etat, il devra renflouer la compagnie d’un montant de l’ordre de 1 milliard de dinars pour financer l’acquisition de 4 nouveaux transporteurs, des Airbus A330 et un A320. Cerise sur la gateau les responsable de Tunisair veulent changé de statut d'entreprise et etre une société 100% offshore en exonération des impôts.
A la lecture du rapport je me demande de quel planète de singes vienne les dirigeants de Tunisair, a lire le rapport il ne sont même pas rentable et les responsable propose de nouvelles ligne alors qu'il sont déficitaire depuis des années ! Mais c'est vrai que la bonne gestion n'existe pas au sein de Tunisair, et quand ont a l’état pour payer rubis sur ongles leurs âneries, ont n'est plus a une ânerie pres.

dimanche 23 décembre 2012

Contrefaçon a Tunis

Piratage au menu du programme


Contrefacon Tunis


A l'occasion de la coupe d'Afrique 2013 le site web www.safakat.tn fait part à ses clients de son offre exclusive de Dreambox MD500-S +18 mois d'abonnement à un prix hors concurrence : 99dt seulement au lieu de 230dt, soit 50 euro ! Le stock est limité faut donc se dépêcher apparemment.

Safakat est un site tunisien d'achats groupés, lancé en janvier 2012 et qui vend des produits de contrefacon en totale liberté. On y trouve chaque jour des offres exclusives qui peuvent atteindre même les 75% de remise. Habillement, restaurants, centre de remise en forme, beauté, divertissement, High-Tech, tout y passe !

Le consommateur intéressé par une offre existante sur le site www.safakat.tn, peuvent effectuer c'est achat en ligne (carte bancaire ou postale), par virement bancaire ou postale et aussi au comptant dans les locaux de Safakat(35, rue Chedly Kallela, Tunis). Ont peut dire ainsi qu'il y en a qui manque pas de produit d'appel en contrefaçon a Tunis.

Plus d'infos au 71 890 251

Contrefacon sur internet en Tunisie
Les cartes de banque VISA, MASTERCARD, E-Dinars sont même accepté

mercredi 19 décembre 2012

La BCT a un train de retard

L’affaire BT-Royal Luxembourg et Soprafi


La banque centrale est géré par des ignorants dans les affaires


Le dossier de l'affaire du Fonds Italo-Luxembourgeois "Royal Luxembourg Soparfi", qui a remporter l'offre de cession le mois dernier les 13% du capital de la Banque de Tunisie (BT), a été remis le lundi 3 décembre 2012 à la Banque centrale de Tunisie (BCT) pour vérification de données, a affirmé le ministre délégué auprès du chef du gouvernement chargé des dossiers économiques, Ridha Saïdi.
En clair la banque de Tunisie ne verifie rien du tout depuis le debut, elle se contente de documents sans interrogations de données.

Cette mesure intervient alors que des rumeurs circulant dans les milieux des affaires tunisiens et dans les médias accusant Royal Luxembourg de spéculation, de blanchiment d'argent et d'activités illicites.

Dans un entretien accordé à l'Agence TAP, M. Saïdi a précisé qu'après le parachèvement des formalités relatives à l'appel d'offres, il s'agit maintenant d'enquêter sur la situation du fonds et sur ses activités et seule la BCT est habilitée à le faire.
Il a précisé que la BCT se charge automatiquement du contrôle et de la vérification de tous les documents relatifs aux transactions d'affaires afin d'éviter les activités liées au blanchiment d'argent et au commerce illégal d'armes ou de drogue.

Le hic c'est Monsieur Saidi, ministre délégué auprès du chef du gouvernement semble ignoré que quand ont fait des affaires, il doit y avoir une due diligence en amont et non a la fin comme c'est le cas ici. C'est ce que semble ignoré les dirigeant de la Banque de Tunisie en 2012 ...

dimanche 16 décembre 2012

L’industrie agroalimentaire en 2012 en Tunisie

Les industries agroalimentaires en Tunisie ont un grand potentiel dans les domaines de l’emploi et de l’exportation. Leurs performances restent cependant en-deçà des espoirs. Quelques pistes pour les relancer…

Malgré une évolution globalement positive, les industries agroalimentaires nationales restent très dépendantes des aléas climatiques pour la majorité des cultures pluviales et à l’extérieur des fluctuations du marché mondial.

Le dernier rapport du Centre de commerce international (International Trade Center, Itc) concernant le panorama de l’emploi en Tunisie indique que le secteur de l’agriculture et de la pêche emploie un total de 520.000 personnes, soit 16% de la population totale active en 2012. Il est difficile d’avoir des données sur les emplois indépendamment de la pêche.

Un potentiel d’emploi et d’exportation mal exploité

L’agriculture compte 3 types d’exploitation, dont les exploitations salariales qui comptent sur des agriculteurs saisonniers ou permanents travaillant pour un exploitant agricole ou des exploitations familiales où la terre agricole appartient aux travailleurs ou familles de l’exploitant.

L’industrie agroalimentaire enregistre près de 72.000 emplois et est le troisième secteur manufacturier pourvoyeur d’emploi. 82% de ces emplois se concentrent dans des Pme à capital 100% tunisien dont l’activité est principalement destinée pour le marché local.

Les entreprises totalement exportatrices sont estimées à 14% de l’industrie totale. 92% d’entre-elles sont à capitaux 100% étrangers. Malgré un vrai potentiel de développement vers l’international, plusieurs entrepreneurs peinent à faire le premier pas. Pour cause, de nombreux défis dont l’adaptation du produit aux standards et normes internationaux et l’accès aux marchés. Les entreprises qui adhèrent aux programmes d’appui critiquent le manque de suivi pour la concrétisation des marchés et contrats. De plus, plusieurs Pme ne maîtrisent pas les règles d’exportation, en matière de gestion des stocks, des contacts clients, et en stratégie commerciale et de communication.

Deux filières porteuses: les produits «halal» et du terroir

Les industries agroalimentaires (Iaa) font l’objet d’une politique de modernisation impulsée par le gouvernement.

La politique économique tunisienne encourage l’intégration du pays dans le marché international et la diversification des marchés. Le nombre le plus élevé d’entreprises totalement exportatrices s’enregistre dans l’entreposage de produits frigorifiques et l’industrie des produits de la mer. L’industrie des fruits et légumes et les autres Iaa sont également propices à l’exportation.

Tenant compte des perspectives de développement des marchés et la nature même de la production tunisienne, quant à une utilisation minimale de pesticides, le savoir-faire agricole des régions, la familiarisation avec les concepts «halal», et la diversification des produits agricoles du terroir, il est à noter que tout ceci permet à l’industrie de répondre au potentiel de développement des filières bien spécifiques et à grande valeur ajoutée. Le marché «halal» à lui seul est estimé à 2,3 trillions de dollars de chiffre d’affaires.

L’intégration limitée de la filière oléicole
Par ailleurs, la filière oléicole représente 20% de l’emploi du secteur agricole auquel s’ajoute la transformation industrielle. Pour cause, la domination des exportations de l’huile d’olive, produit emblématique qui représente plus de 42% de la valeur des exportations totales.
Les structures de production, en majorité privées, de petite taille et de type familial représentent près de 29% de l’effectif total des exportations agricoles.

La production de l’olivier intervient également dans d’autres secteurs indissociables, tels que le cosmétique, la savonnerie, l’artisanat avec les bois d’olivier.
Cette tendance participe également à la création de l’emploi régional et la promotion du savoir-faire tunisien. Malgré ce potentiel, l’intégration de la filière oléicole dans d’autres secteurs reste très limitée.

Du point de vue des exportations, l’exploitation des produits oléicoles, malgré l’irrégularité de la production représente 42% de la valeur des exportations totales, suivie par les produits de la mer et les dattes avec respectivement 17% et 11% de la valeur des exportations.
A ces trois produits classiques qui représentent environ 70% du total, s’ajoutent d’autres exportations, moins importantes certes, mais connaissant une certaine régularité. Il s’agit des dérivés des céréales (pâtes et biscuits), les conserves de fruits et légumes avec notamment les conserves de tomates.

Concernant les destinations, l’Union européenne (UE) représente le client le plus important, notamment l’Italie qui attire en moyenne 50% des exportations (principalement l’huile d’olive en vrac). Les exportations vers la Libye sont très irrégulières et passent par des canaux de contrebande, mais peuvent représenter jusqu’à 10%.

Les industries agroalimentaires connaissent ainsi en Tunisie une évolution globalement favorable, malgré la crise économique et la contraction de la demande mondiale en matière d’agro-industrie, avec des performances différenciées selon les produits, assez irrégulières dans le temps, tout en restant fortement dépendantes de leur approvisionnement agricole, lui-même encore sous l’influence des aléas climatiques pour la majorité des cultures pluviales.




samedi 1 décembre 2012

Clinique spéciale pour touristes medicaux en Tunisie

Maghreb Private Equity Fund II  a Chypre



Atténuer les effets de l'âge sur votre visage ou votre corps peut accroître votre confiance en vous», peut-on lire sur le site internet de la Clinique internationale Hannibal, juste au-dessus d’une photo d’un implant mammaire.

Inaugurée il y a six mois, cette clinique privée très high-tech est située sur les berges du lac de Tunis, dans le quartier des ambassades. Elle est notamment active dans le très juteux créneau du tourisme médical, un marché important puisqu’environ 120.000 touristes étrangers viennent chaque année goûter au charme discret des cliniques tunisiennes.

La clinique Hannibal figure parmi les 15 PME sur lesquelles a misé le Maghreb Private Equity Fund II (MPEF II), un fonds domicilié à Chypre, paradis fiscal très prisé par les oligarques russes. En 2006, BIO a décidé d’injecter 6 millions d’euros dans ce fonds piloté depuis Tunis par la société de capital-investissement Tuninvest.

Une association de 75 médecins tunisiens, dont la clientèle privée se compose de plus d’un tiers d’étrangers, détient 34% du capital de la clinique. Machirurgie.com, un tour-opérateur tunisien spécialisé en tourisme médical (chirurgie des seins, de la silhouette, du visage, greffe de cheveux…) et qui cible une clientèle française, vante les services de la clinique Hannibal sur son site internet. Hors avion, un changement de prothèses PIP est proposé pour 1.780 € tout compris: navette depuis l’aéroport, prothèses, honoraires du chirurgien, deux nuits d’hospitalisation, et deux nuits de convalescence demi-pension «dans un quatre étoiles en bord de mer».

La clinique Hannibal réalise également des «bilans de santé demandés par la majorité des multinationales». Avec ses 180 lits répartis sur 11 étages, elle est la plus grande clinique du pays en termes de capacité. «Elle affiche un taux de remplissage proche des 100%, explique Carole Maman, directrice du secteur financier chez BIO. La clinique emploie aujourd’hui 450 personnes, et 20 cabinets médicaux sont en cours d’ouverture dans un rayon de 300 mètres. Cet établissement traite des pathologies sévères qui n’étaient pas suffisamment couvertes en Tunisie, telles que le cancer et les maladies cardio-vasculaires, et dispose d’un centre de procréation médicale assistée. La clinique a traité des réfugiés libyens pendant la révolution.»

Connexions avec le régime Ben Ali



La mariage de Said Bousbel avec la famille du dictateur Ben ali c’était pour faire des affaires et obtenir des avantages, d’après le témoignage d'un ex-associés étranger, témoin de mariage a l’hôtel d'Hammamet

Un des actionnaires de la clinique Hannibal est Lassaad Boujbel, dont le frère Saïd est le gendre de Jalila Trabelsi, la sœur de Leila Trabelsi, épouse du président déchu Ben Ali. En août 2011, avec une partie du clan Trabelsi-Ben Ali, Saïd Boujbel a été condamné à six mois de prison et une amende pour des «infractions douanières et de change». Quelques jours après cette condamnation, il a été empêché de quitter le territoire à l’aéroport de Tunis-Carthage.

Le fonds MPEF II finance également Omniacom, présentée par la lettre d'information Maghreb Confidentiel comme une start-up créée par le frère de l’ancien ministre de la Défense puis de l’Intérieur de Ben Ali, Abdallah Kallel, condamné en novembre 2011 à quatre ans de prison pour torture dans les années 90 (peine ramenée à deux ans en appel par magie.

Selon une source, Tuninvest mène des contrôles approfondis soit disant avant chaque investissement et ces connexions avec le régime Ben Ali n’ont pas posé problème. Il ajoute que Maghreb Confidentiel ne se trompe pas et que le Samir Kallel d'Omniacom serait un intouchable en Tunisie.

Said Boujbel au dessus de la loi tunisienne ?

La fortune du des proches du président déchu et du clan Trabelsi ne semble pas possible à cerner et estimer, Parmi ces gens la figurent des personnes qui on l’air d’être intouchables ou, du moins, presque impossible à condamner. Said Boujbel le mari de Rim Mahjoub, fille de Jalila Trabelsi et Haj Mohamed Mahjoub (arrêtés le 14 Janvier 2011), et qui  est à la tête d’un empire industriel et financier et qui fait partie des plus grandes fortunes tunisiennes.

Said Boujbel serait un homme d’affaires tunisien, ayant fait fortune dans le conditionnement et l’exportation des dattes avec la société Haifa Dattes Boujbel et Cie dans la région de Beni Khalled et ensuite avec l’industrie des boissons gazeuses et la transformation des oranges avec la SNBG (Société Nouvelle des Boissons Gazeuses) et qui produit notamment les marques Fayrouz, Diva, Tropico, Viva, Oh !, Raoua, Royal, RC Cola et Black Power…
Said Boujbel attaque alors le marché de l’hotelerie avec deux grandes sociétés, acteurs majeurs du tourisme tunisien Sunny Hotels et Carribean World qui pèsent plus de 18.000 lits et qui regroupent des enseignes comme :
-Tabarka:
Hotel Golf Beach3
-Gammarth:
Hotel Dar Naouar
-Borj Cedria:
Hotel Sun Beach Resort
Hotel Lookea Beach Azur
-Hammamet:
Complexe hotelier Zenith (Hotel Kenza et Anais)
Hotal Hammamet Garden
Hotel Yasmine Beach
Hotel Venus
Hotedl Kilma
-Tozeur:
Hotel Kervansarail
-Djerba :
Hotel Lookea Cedriana
Hotel Fiesta Beach


La chaine Carribean Worl dispose egalement d’un hotel à Hurghada en Egypte (Soma Bay), Deux unitié hoteliéres à San José  ainsi qu’une nouvelle acquisition au Costa Rica parallélement à un terrain prévu pour la construction d’un appart hotel (City One)(1).
Said Boujbel détient également une société opérant dans le secteur pharmaceutique avec Medis, laboratoire de fabrication de médicaments.

Boujbel a aussi investi dans la transformation de l’huile d’olive. Parmi les enseignes les plus importantes du groupe, nous pouvons également trouver la seule et l’unique licence destinée àa la fabrication et la distribution des boisson alcoolisées  accordée depuis l’indépendance avec la SONOBRA(Société nouvelle de brasserie), une joint-venture avec Heineken et qui fabrique et distribue les marques : Heineken et Golden Brau.
Malgré son poids économique direct et indirect, malgré le nombre de personnes qu’il emploie, Said Boujbel devrait également figurer sur la liste des personnes qui doivent rendre des comptes sur son éventuel enrichissement illicite vu son lien de parenté par alliance avec le clan Trabelsi. Malheureusement la justice n'existe toujours pas en Tunisie, en tout cas jusque aujourd'hui, ce monsieur reste intouchable ...